La CCI de Nice annonce une saison estivale « horribilis » avec un mois de juillet 2014 relativement mauvais en terme de fréquentation nullement rattrapé en août avec pour résultat une baisse de 10 % pour l’occupation hôtelière.
Et pour la restauration, les résultats sont pires avec une chute de 25 %. Le « fait maison » ne semble pas avoir joué son rôle mais il est vrai que la profession sur la Côte d’azur traine une mauvaise réputation avec un turn over des établissements considérables et un service, des prestations et des prix qui laissent souvent à désirer.
Le trafic portuaire avec la Corse accuse un recul de 10 %. La croisière ne s’amuse plus à Villefranche-sur-Mer avec des chiffres en chute.
Michel Chevillon, président des hôteliers cannois, se fait même prophète : "Cet hiver sera le pire que l’hôtellerie cannoise n’a jamais connu."
Une analyse que relativise le CRT Riviera Côte d’Azur qui reconnaît malgré tout une baisse de la fréquentation de 2 % en juillet/août. Un résultat d’autant plus inquiétant que les deux mois phares de l’été représentent 27 % de la fréquentation touristique annuelle et plus du tiers des nuitées.
Et pour la restauration, les résultats sont pires avec une chute de 25 %. Le « fait maison » ne semble pas avoir joué son rôle mais il est vrai que la profession sur la Côte d’azur traine une mauvaise réputation avec un turn over des établissements considérables et un service, des prestations et des prix qui laissent souvent à désirer.
Le trafic portuaire avec la Corse accuse un recul de 10 %. La croisière ne s’amuse plus à Villefranche-sur-Mer avec des chiffres en chute.
Michel Chevillon, président des hôteliers cannois, se fait même prophète : "Cet hiver sera le pire que l’hôtellerie cannoise n’a jamais connu."
Une analyse que relativise le CRT Riviera Côte d’Azur qui reconnaît malgré tout une baisse de la fréquentation de 2 % en juillet/août. Un résultat d’autant plus inquiétant que les deux mois phares de l’été représentent 27 % de la fréquentation touristique annuelle et plus du tiers des nuitées.
Chute des dépenses moyennes des visiteurs
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Au niveau de la fréquentation étrangère, on constate une progression des touristes venant d’Europe de l’Est (à l’exception des Russes), de Turquie et le retour des Italiens.
La clientèle russe en raison des tensions politiques s’affiche en baisse de 5 % à fin août 2014 pour ceux qui viennent en avion avec une baisse de 15 % pour les nuitées en hôtels ou résidence.
Même la clientèle asiatique a connu une chute de 13 % à fin juillet.
Chiffre encore plus inquiétant : les dépenses moyennes qui étaient de 79 euros par jour et par personne en 2013 ont chuté à 51 euros cet été...
Même constat pour l’Office de Tourisme de Nice où, pour juillet, tous les secteurs sont touchés par cette chute de fréquentation. Avec pour Nice, - 9% de nuitées hôtels et - 5% pour les résidences, - 13% dans les bureaux de l'OTCN, - 12% dans les musées et sites touristiques, - 11% au niveau des visiteurs avion.
Parmi les nationalités en perte de vitesse à Nice depuis le début de l'année, notons les Japonais (- 20%), les Russes (-17%), les Canadiens et les Sud-Américains (-15%). Mais l’office constate aussi le retour des Italiens (nuitées en hausse de 9 %). C’est la seule bonne nouvelle de l’été.
La clientèle russe en raison des tensions politiques s’affiche en baisse de 5 % à fin août 2014 pour ceux qui viennent en avion avec une baisse de 15 % pour les nuitées en hôtels ou résidence.
Même la clientèle asiatique a connu une chute de 13 % à fin juillet.
Chiffre encore plus inquiétant : les dépenses moyennes qui étaient de 79 euros par jour et par personne en 2013 ont chuté à 51 euros cet été...
Même constat pour l’Office de Tourisme de Nice où, pour juillet, tous les secteurs sont touchés par cette chute de fréquentation. Avec pour Nice, - 9% de nuitées hôtels et - 5% pour les résidences, - 13% dans les bureaux de l'OTCN, - 12% dans les musées et sites touristiques, - 11% au niveau des visiteurs avion.
Parmi les nationalités en perte de vitesse à Nice depuis le début de l'année, notons les Japonais (- 20%), les Russes (-17%), les Canadiens et les Sud-Américains (-15%). Mais l’office constate aussi le retour des Italiens (nuitées en hausse de 9 %). C’est la seule bonne nouvelle de l’été.
